Fenêtres
Un autre instantané pris dans le quartier de la Porte des lilas.
Roger Gauthier, Le photographe venu du froid
••••••••••••••••••••••••••••
Windows
Another snapshot from the Porte Des Lilas Quarter.
Roger Gauthier, The Photographer Who Came From The Cold
Beaux jeux de formes et de lignes , bravo tu es toujours aussi perfectionniste !
RépondreEffacerJ'aime aussi beaucoup à la photographie fenêtres. En plus de portes et tous les détails visibles sur une base quotidienne.
RépondreEffacerFélicitations pour votre grand tableau.
@Suzanne : Merci... c'est vrai que je suis perfectionniste... probablement trop. On ne change plus à mon âge cependant, surtout pas quand on est un prophète, non ? :-)))
RépondreEffacerEt tu as raison, il y avait quelque chose d'invitante dans ce jeu de lignes. Je n'ai fait que redresser le tout pour rendre plus symétrique encore.
Roger
@Roberto : Merci Roberto ! Tu as raison : toute le monde voit ces fenêtres tous les jours, et il suffisait de choisir le bon angle... :-)
RépondreEffacer•••••••••••••••••••••••
Gracias Roberto! Que tiene razón: todo el mundo puede ver las ventanas todos los días, y fue suficiente para elegir el ángulo derecho ... :-)
Roger
ce tableau photographique m'évoque
RépondreEffacerdes guillotines en série,
les petites têtes sortent pour voir quel est donc ce bruit dehors ?
Les collecteurs de commérages pointent leur nez , leur têtes aux fenêtres
Les fenêtres activées par le diable chargé de la surpopulation
envoie le jus dans les fenêtres
qui se referment et décapitent
L'EMPRISE DU GRIS,
LES Touches DE Rouges et de carmin
la littérature faits divers
la nuit à BRUXELLES pour résoudre la crise économique…
L’art est mitoyen de la contemporainité
Cher Roger , j'ai attendu avant d'écrire
et c'est ce jus qui reste au bout de ma plume…
Je vous embrasse fort cordialement,
&
je n'écrirai pas sur votre "fandejo" en scooter
dix ans de responsable de radiologie dans un CHR régional
m’a permis de palper en chair broyée,
la résultante de ces spermes de nombril.
Prés bien de les prendre sur le vif
ces matadores de l'insolence : "çà n'arrive qu'aux autres"
Très lumineuse comme j'aime resplendir, on ne le dirait pas !
Congratulation MR ROGER de Saint SOPHIE
@Frankie : woohoo Franke quelle inspiration galopante et débridée... mais follement amusante à lire! Écriture que l'on ne peut apprendre en quelques jours... Je ne vous savais pas ce talent.
RépondreEffacerPour le jeune écervelé sur son deux-roues, la photo parle d'elle-même...
Roger
merci ROGER de votre petit mot,
RépondreEffacerj'avais peur en écrivant mais je ne pouvez pas sortir de cette image
je n'avais pas vu vos façade orangers
quel souffle formidable que de les voir.
je vous souhaite un excellent week end et de belles promenades pour nous ravir de vos photographies nous avons besoin de grande évasions
je vous embrasse chaleureusement Françoise -FRANKIE
c'est beau, mais fait peur aussi, cette promiscuité..
RépondreEffacer@ELFI : Je ne saurais être plus d'accord. La ville avec tous ses avantages... mais aussi ce problème de promiscuité constante avec laquelle je ne saurais pas vivre.
RépondreEffacerIl faut dire que je suis ce qu'on appelle par chez nous « un gars de la campagne », des petites villes et des grands espaces. Cet entassement urbain me laisse mal à l'aise.
Roger