Buttercup: A Blow-Up
For those who do not see easily the difference between the two images in the previous post, you can see below two 300% blow-ups of a small part of the photograph: the original image and the reprocessed one.
Look how bad the sharpening is in the first one! And how beautiful it is in the second one... This is the kind of problem that the art photographer is confronted with every day of the week, in each image. This is why it is impossible to create a really good image without going over it in 100 or 200%, slowly, correcting imperfections as they appear.
And this is why it takes hours for each image, at the least. Printing it is a totally different problem that I will discuss much later.
Roger Gauthier, The Photographer Who Came From The Cold
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Le bouton d'or, un agrandissement
Pour ceux et celles qui ne voient pas facilement la différence entre les deux images du message précédent, vous pouvez voir ci-dessous deux agrandissements à 300 % d'une petite partie de la photo : la photo originale, et la photo retravaillée.
Regardez comme l'accentuation (sharpening) est mauvaise dans la première ! Et comme elle est belle dans la deuxième... Voilà le genre de problème auquel le photographe d'art est confronté tous les jours de la semaine, dans chaque photo. C'est pourquoi il est impossible de créer une image vraiment très bonne sans la retravailler en 100 ou 200 %, lentement, corrigeant les imperfections au fur et à mesure qu'elles se présentent.
Cela explique aussi pourquoi il faut consacrer des heures, au moins, pour chaque image. L'impression est un problème très différent que je n'aborderai que plus tard.
Roger Gauthier, Le photographe venu du froid
Blow-Up Of The Original Buttercup / Agrandissemebnt du bouton d'or original
Blow-Up Of The Reprocessed Buttercup / Agrandissement du bouton d'or retravaillé
Dear Roger.
RépondreEffacerAn artist can see, and because of this, he feels unconfortable with signs and syntoms that others can't see!
Congrats for see the differences!
Mais oui tu bosses ROGER tu ne cesse de travailler alors je te regarde. C'est très beau puis cette couleur jaune le craque
RépondreEffacerJe t'embrasse
J’admire, je le dis sans fard ni ironie, ton patient perfectionnisme pour tes photos. Car cette ombre noire, que tu as amoureusement fait disparaître à petites touches, était somme toute, un défaut qui ne sautait pas aux yeux. Mais toi, tu savais qu’elle était là et tu ne l’acceptais pas.
RépondreEffacer--
I truly admire, and I say that candidly and without the faintest touch of irony, your patient search for perfection with your pictures. After all, that shadowy black line, that you lovingly erased bit by bit, might be said to have been nearly invisible. But you knew it was there and you couldn’t stand it.
SIEMPRE ES PARA MÍ, UN GRAN GUSTO VISITARLO Y APRECIAR SU ARTE.
RépondreEffacerUN ABRAZO
Hello Jaime, this is nice of you to say; But I'm afraid you're right. If something is not as it should, it stands there and has to be corrected. As far as being an artist is concerned, this is one point where I will always differ. It's so hard to do things! :-)
RépondreEffacer@France : Tu es comique... Mais c'est vrai qu'elle est bien, cette couleur ! Un bouton d'or...
RépondreEffacer@Hélène : Tu vois, Hélène, Jaime le disait : cela sautait aux yeux. Une fois l'oeil habitué, bien sûr.
RépondreEffacer@ Reltih: Gracias, mi amigo. Trabajamos en diferentes artes, pero yo siempre quiero leer!
RépondreEffacer¡Salud!